Jean-Claude
Tremolière nous a quitté à 70
ans.
Le monde figeacois
de la moto est en deuil.
Jean-Claude
Trémolière, toujours souriant
Le
CAR, à son origine,
avait une section à Figeac dont
le responsable était Monsieur Georges Danis.
Très vite, il s'est adjoint un jeune homme passionné (notamment de motos) : Jean-Claude.
Pour des raisons pratiques (accès aux salles municipales, aide au matériel...), la section de Figeac est devenue autonome sous le nom Auto Moto Rétro Figeac.Monsieur Danis en prenait la présidence, Monsieur Gautier la vice-présidence et Jean-Claude Trémolière l'animation des motos.Jean-Claude n'a jamais lâché le club et était apprécié par ses nombreux amis du CAR à deux et quatre roues.
Nous avons une pensée émue pour lui.
Jean-Louis Marre
Le monde de la moto figeacois est en deuil. Jean-Claude Trémolière dit Gaston nous a quittés subitement, à son domicile, jeudi matin. Il avait seulement 70 ans.Fils de bougnat, il était fier de ses racines aveyronnaises et parlait le patois à la moindre occasion. En parallèle de ses études d’architecture à Toulouse, il multipliait projets et voyages, tout en s’impliquant dans la vie locale en créant un resto-concert entre copains à Hauteval, lieu de vie nocturne qui résonnait dans la vallée. Mais finalement sa passion créatrice pour les beaux-arts le rattrapait et il s’installait architecte à Figeac, précurseur en construction bioclimatique.
Il y fondait une famille avec Marylène. Son associé Gilles Faltrept se souvient : "C’était un garçon enthousiaste et avant-gardiste. Il aimait travailler le bois, il était féru de constructions en dômes géodésiques, un admirateur de Richard Buckminster Fuller et Bart Prince. Ensemble nous avons réalisé la maison des associations à Fons ou l’école Lacalmontie".
Homme de conviction, épicurien, généreux et profondément humaniste, il éblouissait par son imagination débordante, ses rêveries, et donnait goût à la vie, la dolce vita.
Son autre passion était la moto, ancienne et française de préférence, cheville ouvrière du club Auto-Moto-Rétro il n’avait de cesse d’organiser des sorties ou des évènements comme la bourse d’échange.
Au guidon de sa Peugeot de 1936, ses balades conduisaient immanquablement sur l’Aubrac où il aimait retrouver et partager ses racines familiales avec un retour du côté de Marcillac-Vallon pour goûter le Mansois.
Les consignes étaient simples : "Regardez dans le rétroviseur, ne vous occupez pas de celui qui est devant mais attendez celui qui vous suit."
Jeudi matin, Gaston a oublié de regarder dans le rétro et est parti rejoindre Véro et Sergio au paradis des motards.
Ses amis sont dévastés par le chagrin.
La Dépêche présente ses sincères condoléances à son fils Hugo, ses filles Maude et Elia ainsi qu’à Marylène, la mère de ses enfants. Les obsèques auront lieu mardi à 15 heures à l’église du Puy.
Très vite, il s'est adjoint un jeune homme passionné (notamment de motos) : Jean-Claude.
Pour des raisons pratiques (accès aux salles municipales, aide au matériel...), la section de Figeac est devenue autonome sous le nom Auto Moto Rétro Figeac.Monsieur Danis en prenait la présidence, Monsieur Gautier la vice-présidence et Jean-Claude Trémolière l'animation des motos.Jean-Claude n'a jamais lâché le club et était apprécié par ses nombreux amis du CAR à deux et quatre roues.
Nous avons une pensée émue pour lui.
Jean-Louis Marre
Jean-Claude
Trémolière sur sa Peugeot 500 de 1936.
Le monde de la moto figeacois est en deuil. Jean-Claude Trémolière dit Gaston nous a quittés subitement, à son domicile, jeudi matin. Il avait seulement 70 ans.Fils de bougnat, il était fier de ses racines aveyronnaises et parlait le patois à la moindre occasion. En parallèle de ses études d’architecture à Toulouse, il multipliait projets et voyages, tout en s’impliquant dans la vie locale en créant un resto-concert entre copains à Hauteval, lieu de vie nocturne qui résonnait dans la vallée. Mais finalement sa passion créatrice pour les beaux-arts le rattrapait et il s’installait architecte à Figeac, précurseur en construction bioclimatique.
Il y fondait une famille avec Marylène. Son associé Gilles Faltrept se souvient : "C’était un garçon enthousiaste et avant-gardiste. Il aimait travailler le bois, il était féru de constructions en dômes géodésiques, un admirateur de Richard Buckminster Fuller et Bart Prince. Ensemble nous avons réalisé la maison des associations à Fons ou l’école Lacalmontie".
Homme de conviction, épicurien, généreux et profondément humaniste, il éblouissait par son imagination débordante, ses rêveries, et donnait goût à la vie, la dolce vita.
Son autre passion était la moto, ancienne et française de préférence, cheville ouvrière du club Auto-Moto-Rétro il n’avait de cesse d’organiser des sorties ou des évènements comme la bourse d’échange.
Au guidon de sa Peugeot de 1936, ses balades conduisaient immanquablement sur l’Aubrac où il aimait retrouver et partager ses racines familiales avec un retour du côté de Marcillac-Vallon pour goûter le Mansois.
Les consignes étaient simples : "Regardez dans le rétroviseur, ne vous occupez pas de celui qui est devant mais attendez celui qui vous suit."
Jeudi matin, Gaston a oublié de regarder dans le rétro et est parti rejoindre Véro et Sergio au paradis des motards.
Ses amis sont dévastés par le chagrin.
La Dépêche présente ses sincères condoléances à son fils Hugo, ses filles Maude et Elia ainsi qu’à Marylène, la mère de ses enfants. Les obsèques auront lieu mardi à 15 heures à l’église du Puy.